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Recherche par lecteur : Alain Bertrand

290 résultats. Page 15 sur 15.

Lu par:Alain Masson
Durée:1h. 36min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:24249
Résumé: Entre la fin de l'Antiquité et le début du Moyen Age, des peuples aux noms mystérieux apparaissent en Europe : Ostrogoths, Wisigoths, Vandales, Francs... D'où viennent ces conquérants ? Pourquoi ont-ils détruit l'Empire romain qui les fascinait pourtant ? L'épopée des Barbares ne se résume pas à la violence de guerriers armés de haches, buvant leur bière dans le crâne de leurs ennemis. Autour de rois et de reines hors du commun, ils ont mis en place une société riche et complexe, dont on retrouve encore la marque aujourd'hui. Brutes sanguinaires ? Seigneurs des anneaux ? Qui sont les Barbares ? C'est à ce passionnant retour aux origines de notre civilisation qu'invite Bruno Dumézil dans cet ouvrage.
Lu par:Alain Masson
Durée:8h. 20min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:24848
Résumé: « Les banques sinistrées des années 2 000 auraient-elles perdu de vue le savant dosage qu'elles doivent en permanence exiger de leurs équipes entre le sens des affaires, le jugement des risques et les réflexes des opérateurs ? » Posté sur les marchés hautement concurrentiels de la finance internationale, un banquier revit son quotidien dans la bonne humeur et fait découvrir son métier... Puisant, au fil de sa carrière pour les remettre en scène, autant de dossiers chauds que de moments choisis, l'auteur homme de terrain livre un récit aussi vivant et détendu que révélateur sur les marchés financiers.
Lu par:Alain Masson
Durée:5h. 16min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:25486
Résumé: « On peut considérer que ce fut grâce à son mari que madame Izarra rencontra le lieutenant Taïbo ». Car c'est lui, Gustavo Izzara, qui, revenant de vacances un soir d'octobre 1997, appelle la police pour qu'elle vienne constater que sa somptueuse villa de Villanueva avait été cambriolée. Un vol pour le moins étrange puisqu'aucun objet n'a été dérobé et que les intrus, apparemment familiers des lieux, se sont contentés d'habiter la maison en l'absence du couple. Vida Izzara va peu à peu sortir de son silence et dévoiler au lieutenant Taïbo la vérité : Paloma, sa fille unique de 18 ans, s'est évaporée du jour au lendemain avec Adolfo, un mystérieux (dangereux?) jardinier, et elle la soupçonne d'être revenue, par effronterie, insolence, nostalgie, hanter la demeure familiale. Les vies d'oiseaux, ce sont celles que mènent ces quatre personnages dont les trajets se croisent sans cesse. Chacun à sa manière, par la grâce d'un nouvel amour, est conduit à se défaire de ses anciens liens, conjugaux, familiaux, sociaux, pour éprouver sa liberté d'exister. Sans plus se soucier d'où il vient ni de là où la vie le mène. Avec Des vies d'oiseaux, Véronique Ovaldé continue à explorer les rapports qui lient les hommes et les femmes.
Lu par:Alain Masson
Durée:18h. 1min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:25385
Résumé: La Nouvelle Revue française a cent ans. C'est une longévité rare pour une revue de littérature et de critique. Aussi singuliers sont la notoriété et le rayonnement qui furent les siens dès les premiers temps de sa publication et durant tout le siècle. Quels étaient donc le projet et la situation d'André Gide et de ses amis cofondateurs pour que cette aventure se prolongeât si durablement ? S'agissait-il de faire école, d'élever une bannière ? Assurément non. Seulement, ici, la littérature a tous les droits. Rien ne lui est opposable. Ni la religion ni la politique, ni les moeurs ni la morale, ni la tradition ni la mode. Peu importe que l'on considère la parole de l'écrivain comme un don ou un effort, une aptitude ou une discipline. Seuls comptent l'intensité d'écriture et son pouvoir de révélation, cette singularité dans l'ordre de la connaissance et du discours qu'on lui accorde, au-delà de toute doctrine et «préoccupation» qui la limiteraient. «Sans prévention d'école ni de parti», telle fut La NRF : comme le disait Jacques Rivière, l'un de ses grands directeurs, «un lieu d'asile, imprenable, ménagé pour le seul talent, le seul génie, s'il veut bien se montrer». Et il s'est bien montré, avec Gide et Claudel, Proust et Martin du Gard, Larbaud et Supervielle, Saint-John Perse et Michaux, Malraux et Sartre, Alain et Blanchot... et par la voix de tant d'autres, tous gravitant autour d'un même soleil. Cette chronique de La NRF, riche en amicales et laborieuses complicités mais aussi en querelles, questionnements et détours inattendus, montre à quel point cette singulière histoire éditoriale s'est entremêlée à un grand siècle de littérature.
Lu par:Alain Masson
Durée:6h. 31min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:25543
Résumé: Alors que tout semble paisible aux thermes de Saturne, lieu de repos préféré des Romains, un homme ouvre le feu et fait trois victimes et plusieurs blessés avant de s'enfuir. La commissaire Simona Tavianello est chargée de l'enquête et tandis que la piste terroriste d'Al-Qaeda est toute désignée, elle préfère se rapprocher de Cédric Rottheimer, un détective privé. En mission sur les lieux pour le compte d'un mari jaloux, il a filmé la femme infidèle qui fait partie des victimes. Les meurtres sont d'évidence l'œuvre d'un professionnel et la commissaire ne veut négliger aucune piste, d'autant que, au moment des faits, se déroule à Gênes le sommet du G8. Or les thermes de Saturne sont aussi soupçonnés d'être un lieu idéal pour le blanchiment de l'argent. Bientôt l'enquête révèle des implications multiples et complexes dans le drame de Saturne : mafia, sociétés écrans et même le gouvernement... Tous voudraient bien se partager un butin inavouable. La commissaire Tavianello, accusée de complicité avec le parrain d'un clan local, démissionne mais sans toutefois renoncer à faire jaillir la vérité. Aura-t-elle les moyens d'y parvenir ?
Durée:13h. 13min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:26015
Résumé: Le 14 juillet 1789, le peuple de Paris prend la Bastille. L'onde de choc se fait sentir jusqu'aux Etats du Pape (Vaucluse). Vincent, jeune paysan provençal illettré, subit ce séisme en poursuivant le manuscrit des 120 journées de Sodome, perdu par le marquis de Sade qui passe pour être son père. Epris de la sage Analys, mais terrorisé par le vicomte, son frère, Vincent devient valet de leur père, le marquis de Saint-Roman, dont le charme ambigu le trouble. Affolé, il fuit le château tandis que la guerre civile éclate entre Avignon, acquise aux idées nouvelles, et Carpentras, demeurée légitimiste. Devenu lieutenant de Jourdan Coupe-tête, le général des révolutionnaires, Vincent va aimer et combattre des personnages idéalistes ou criminels, tels la fanatique Olympe de Falques qui fait torturer les curés jureurs, Pastan, le citoyen-poète qui met la Déclaration des droits de l'homme en musique, et surtout le vicomte, athée cynique et libertin, qui entreprend son éducation. Jusqu'à ce que la Révolution, le manuscrit et Analys le rattrapent.
Durée:26h. 48min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:26655
Résumé: A l'occasion des 50 ans de sa mort, l'intégrale des soixante-cinq nouvelles de D. Hammett est publiée, dont neuf sont inédites en français. Ecrites entre 1922 et 1934, elles mettent toutes en scène l'archétype du privé, via les figures de Sam Spade et du héros sans nom employé par l'agence Continental, aux prises avec la corruption, les gangsters et la prohibition
Durée:26h. 38min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:25244
Résumé: Quand il quitte en 1922 l'agence Pinkerton qui l'employait comme détective privé depuis 1915, Dashiell Hammett se lance dans l'écriture. Il rejoint les rangs de la revue Black Mask qui venait de se lancer et s'y impose immédiatement comme chef de file d'une génération d'auteurs qui vont rénover de fond en comble la littérature policière : loin d'Agatha Christie et de l'ambiance feutrée des romans à énigme anglais, la revue est le creuset d'un type de récits plus durs qui mettent en scène le détective privé aux prises avec la corruption de la grande ville, ses flics pourris, ses gangsters violents, la prohibition, etc. Si les 65 nouvelles écrites par Hammett de 1922 à 1934 ne sont pas toutes criminelles, il a créé l'archétype du privé via essentiellement deux figures, Sam Spade (dans trois nouvelles et le roman Le Faucon maltais) et le héros sans nom employé par l'agence Continentale, héros de la plupart des récits policiers. « Hammett a sorti le roman policier du vase vénitien pour le jeter dans la rue. » a écrit Raymond Chandler, créateur de Philip Marlowe, pour expliquer l'influence considérable de Hammett sur l'évolution du genre.
Durée:10h. 10min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:27103
Résumé: Le récit de la bataille et de la défaite d'Alésia, après de longues semaines de siège et de famine, Vercingétorix s'est livré à César. La déroute des Gaulois et la fin de leur indépendance n'avaient rien de prévisible. Vercingétorix détenait des moyens militaires redoutables mais des pouvoirs politiques limités et des troupes désorganisées.
Durée:4h. 44min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:14864
Résumé: Ecrivain fatigué et à court d'inspiration, Benoît Rouvre s'est retiré dans une maison solitaire à Valmont, Suisse. Au-dehors, un couple l'intrigue : lui, Benjamin Gousenberg, vieillard à l'oeil étincelant, elle, Sarah, brune, large bouche, corps déployé. Atteint d'un cancer incurable, Gousenberg propose à Rouvre, fasciné, le pacte suivant : sa femme Sarah vole d'homme en homme, il lui fait don de Sarah. Rouvre s'embrase pour cette "fille de Jérusalem" qui n'éprouve de plaisir qu'à l'insulter, et découvre avec horreur ses nombreux amants. La mort de Gousenberg et le suicide de Sarah concluent le roman. Mais Rouvre, comme assommé par ce qu'il vient de vivre, y ajoute un épilogue, lumineux. {La Trinité}, autre nom pour le triolisme ? Ou est-ce un livre biblique ? L'extase commune d'un protestant vaudois et d'une fille de Jérusalem ? Ce roman troublant et tourmenté, cette passion à deux plus un absent, Jacques Chessex la conçoit comme un embrasement froid, une manière de se distraire de la mort, une fin de saison entre chair et chaire : "Trois ombres achevaient la partie de l'apothéose du vide."